Il faut ajouter 5 groupes de fréquences d’ondes cérébrales liées à
notre activité mentale :
– Les ondes Delta
de 0 à 4 Hz sont les ondes les plus lentes mais aussi les plus hautes
en amplitude. Elles se produisent lorsqu’une personne est en état de sommeil
profond, sans rêve, ou dans la plus profonde méditation. Ces ondes « suspendent
» la vie extérieure et apportent une paix profonde. Certaines fréquences de ces
ondes déclenchent la production d’une hormone de croissance favorable à la
guérison et à la régénération, on comprend pourquoi le sommeil profond est
réparateur et essentiel au processus de guérison. En fait, le principe général
est que la fréquence prédominante du cerveau est d’autant plus basse en termes
de pulsations par seconde que la personne est détendue, et d’autant plus élevée
que la personne est agitée.
– Les ondes Thêta de
4 à 7 Hz. Ces ondes se produisent le plus souvent dans le sommeil, dans les
états de méditation profonde (corps endormi et esprit en éveil) ; cela permet
l’accès aux souvenirs et à la concentration mentale interne. En ondes Thêta,
nous sommes en retrait du monde extérieur et plus concentrés sur le paysage
mental. Ces ondes sont liées au mystère ou à un état « crépusculaire », au rêve
éveillé. Méditer avec Thêta augmente la créativité et diminue le stress,
aiguise l’intuition et les dons de perception extra sensorielle.
– Les ondes Alpha de
7 à 12 Hz. Ces ondes peuvent induire un état de relaxation et de concentration
mentale ; elles sont présentes dans le rêve et la méditation, légère, les yeux
fermés. Au fur et à mesure que davantage de neurones sont engagés dans cette
fréquence, les ondes Alpha circulent à travers tout le cortex induisant la
relaxation mais pas la méditation. Avec les ondes Alpha, nous commençons à
accéder à la richesse créative qui se situe sous notre conscience éveillée.
C’est la porte qui ouvre sur des états de conscience profonds. Ces ondes
favorisent la coordination mentale globale, le calme, l’attention, la
conscience intérieure.
– Les ondes Bêta de
12 à 25 Hz. Ces ondes correspondent à notre état normal lorsque l’attention est
orientée vers les tâches cognitives et le monde extérieur. Rapide, l’activité
Bêta est activée lorsque nous sommes alertes ou parfois même anxieux, ou
engagés dans la solution de problèmes, une prise de décision, le
traitement de l’information, la concentration ou l’activité mentale. Pour
certains chercheurs, (et les plus récents travaux vont dans ce sens) la
fréquence Bêta de 14 Hz serait la clé de l’acte de cognition.
– Enfin les ondes
Gamma de 25 à 60 Hz qui modulent la perception et la conscience (et
disparaissent lors d’une anesthésie) ; elles correspondent au traitement de
l’information provenant de différentes zones du cerveau et impliquant la
mémoire, les facultés d’apprentissage, etc…
Sans oublier d'ajouter à ce tableau si complexe les biophotons : Depuis une centaine
d'années, des scientifiques de plusieurs pays (Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev,
Inaba, Popp, et d'autres) ont montré que les organismes vivants émettent de la
lumière (biophotons) à très faible intensité. Tel un laser, l'ADN est à la fois
la source et le lieu de stockage de ces photons. L'ensemble des biophotons de
l'organisme constitue un champ cohérent porteur d'information, sous forme
d'hologrammes, qui dirige les processus vitaux de l'organisme et maintient son
intégrité. Grâce à ces rayonnements, les cellules communiquent entre elles et
envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire. D'autres
informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui
assure et coordonne le développement de l'organisme. Cela explique des
phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire comme la différentiation
des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour
évaluer la qualité des aliments et améliorer l'état de santé des êtres vivants
par des techniques non destructrices.
Si la communication de cellule à cellule se fait par les biophotons, elle se fait aussi par les ondes gamma:Cette communication gamma va s'imbriquer encore dans une autre système plus large encore: les ondes scalaires.
En fait, l’homme est un être complexe, plus
électromagnétique que chimique (c’est aussi le cas pour l’univers) et sensible
aux champs électromagnétiques naturels et artificiellement provoqués. Dans la
vie même, tous les processus biologiques sont fonction des interactions des
champs électromagnétiques qui constituent le lieu entre le monde des formes et les
schémas de Résonances ; ils stockent les configurations et les modèles
d’information. Le pont qui relie les résonances du système solaire et les
fréquences cérébrales se situe dans l’hélice de l’ADN humain qui s’est
structuré dans l’environnement Terrestre.
Il s’effectue
vraisemblablement à travers les
ondes scalaires : ces ondes ne se détériorent ni avec le temps ni
avec la distance. Elles stockent de l'information et de l'énergie au-delà de
notre univers à 4 dimensions. Cette énergie venue d'ailleurs peut se libérer
dans notre univers quand le circuit se verrouille. Notre ADN est plus qu'une
simple base de données. C'est une antenne quantique capable d'émettre et de
recevoir des données. Il peut accéder à l'information du vide. Il crée pour
cela des ondes scalaires qui s'harmonisent avec celles du vide : il peut alors
recevoir de l'information. Notre cerveau est un dispositif de syntonisation
extraordinaire qui peut accorder les ondes scalaires, car l'information n'est
pas stockée dans notre cerveau. Il est l'interface avec le vide. Il crée un
champ électromagnétique en résonnance avec toutes nos cellules. Chaque
structure de l'ADN renforce ce champ. Les êtres humains ont une conscience et
une mémoire collective. Nous sommes interconnectés les uns aux autres. Nos
pensées et nos émotions les affectent. Si nous pouvions nous unir comme un
faisceau laser notre pouvoir serait renforcé. C'est à travers ces ondes que
s'effectuent les sorties de corps, les claires visions, les claires audiences,
etc.
Que
sont-elles ? (D’après http://freenrg.info/Physics/les_ondes_scalaires.pdf)
Elles sont une forme d'interférence
produite par les ondes électromagnétiques classiques, et sont aussi le
"bruit" énergétique engendré dans le vide, affublant le vide de cette
caractéristique supplémentaire d'être rempli d'énergie.
Comment se les représenter ? Lorsque deux ondes
électromagnétiques de même fréquence et de phase décalée de 180° sont émises en
parallèle l'une à l'autre, elles s'annulent l'une l'autre: quand l'une vibre
dans un sens, l'autre vibre dans le sens opposé, à chaque instant et chaque
endroit de l'espace le long de leur trajet.
La résultante est nulle et produit une onde se propageant
dans la même direction, mais ne vibrant plus : une onde scalaire.
Oui, car chaque onde électromagnétique véhicule une
énergie et la résultante des deux annule le mouvement de vibration, mais les
énergies s'additionnent, donc il subsiste quelque chose qui ne vibre plus et se
déplace en ligne droite : c'est ça une onde scalaire. Mais elles vibrent d'une manière différente : par le
changement de leur magnitude dans le temps. Elles sont aussi une forme de
vibration du temps, une vibration dans la densité du temps car elles altèrent
la courbure de l'espace et du temps, puisque le temps est énergie, et donc est
sujet aux énergies émises par les ondes scalaires. Ceci prend sa forme
lorsqu'on voit qu'en fin de compte le temps est une énergie compressée, comme
l'est la matière depuis l'égalité E=mc².
C'est une pression qui ne se "voit" pas, qui
s'exerce sur le vide dans lequel elles se déplacent. On peut s'imaginer deux
personnes face à face présentant leurs mains l'une contre l'autre, doigt contre
doigt et poussant chacune l'une contre l'autre avec la même force : il y a
immobilité des deux personnes, mais une pression énergétique est présente entre
les deux mains comprimées par l'effort.
Pourquoi
les ondes scalaires passent à travers la matière plus facilement ?
Comme leur longueur d'onde est infinie (elles ne vibrent
pas), elles ne sont donc pas absorbées par la matière de surface, mais
pénètrent entre les atomes, jusqu'à entrer en contact avec le noyau de l'atome,
et donc interférer à un niveau interne. Les ondes électromagnétiques, avec leur
longueur d'onde sont limitées en pénétration car les crêtes de la vibration
entrent en contact avec la matière, et le maillage de passage des ondes doit
être gros pour les laisser filtrer. Il suffit de regarder un four à micro-onde:
on voit à travers la porte du four, car le maillage qui arrête les microondes et
est collé contre la plaque vitrée laisse largement passer le jour; mais il est
assez petit pour arrêter les micro- ondes, qui sont absorbées car leur longueur
d'onde est supérieure à celle de l'espace du maillage. Le "maillage"
des noyaux atomiques ne laisse passer que des ondes de vibration presque nulle.
Seules les très basses fréquences traversent une cage de faraday, et seules les
ondes scalaires passent à travers des niveaux plus intimes de matière. Bien sûr
elles sont absorbées par le premier noyau rencontré, mais l'action se fait donc
au coeur du noyau, et déstabilise la liaison nucléique.
Qui les
produit ?
Elles sont produites par le vide (la physique quantique
prévoit que le vide est rempli de particules virtuelles, c’est-à-dire
indétectables car existant durant des fractions de seconde extrêmement courtes,
qui apparaissent et disparaissent), et ces particules émettent des ondes
électromagnétiques en interagissant les unes avec les autres, cela des millions
de fois par seconde dans chaque micromètre cube d'espace vide. Donc des ondes électromagnétiques de toutes fréquences
sont émises, dans toutes les directions, et ces ondes s'annulent les unes les
autres, produisant un résultat total nul selon la physique quantique.
Selon la physique des ondes scalaires, cela produit des ondes scalaires de toute direction et magnitude: le vide est remplie de pression d'ondes scalaires qui le remplissent d'énergie. La différence avec la vision quantique, est que l'énergie n'a pas été perdue, mais a été transformée en ondes scalaires qui représentent des lignes de pression dans le continuum espace-temps. Mais les ondes scalaires sont absorbées par la matière, qui en réémet à son tour ; et ainsi les ondes scalaires sont échangées à chaque instant par toute particule de matière. La matière absorbe et réémet des ondes scalaires, qui sont donc une énergie qui circule comme une forme de respiration.
Lien
avec le temps
Les ondes scalaires agissent sur le temps, car elles
modifient la "vitesse" du temps ; elles changent la densité du temps, et les
effets peuvent être mesurables effectivement avec des générations d'ondes
scalaires concentrées en un point de l'espace. Les ondes scalaires courbent en
effet l'espace-temps. Les ondes scalaires sont à utiliser non pas comme des
rupteurs atomiques, elles n'en ont pas la puissance, mais comme des
transporteurs d'énergie pouvant être converties en énergie électrique, et dans
les processus à énergie libre, comme des sources d'énergie gratuites, puisque
leur producteur est le vide.
L’utilisation militaire : L'addition de signaux
permet d'augmenter la puissance de manière localisée, donc de viser, mais on
comprend aussi que ça permet de produire, et ce, seulement au niveau de la zone
de ciblage, une série d'ondes scalaires très puissantes, capables de
destruction énormes, de réchauffer l'atmosphère ou au contraire de la refroidir.
L’utilisation médicale : Si on reprend l'exemple de
l'utilisation des radiations pour la chimiothérapie: On envoie des rayons
irradiants à travers le corps selon des axes qui traversent la zone cancéreuse.
Chaque rayon a une puissance trop faible pour détruire irrémédiablement les
tissus qu'il traverse ; mais la zone d'intersection commune à tous les rayons
elle, s'en prend "plein la tronche" et elle est détruite. N'empêche
que tous les axes du corps à travers lesquels les rayons irradiants passent
morflent un peu, et l'état général du corps s'en ressent.
Importance
biologique des ondes scalaires
(D’après http://www.yvescassard.com/IMG/pdf/Les_ondes_scalaires_l_e_nergie_qui_nourrit_et_qui_gue_rit.pdf)
Les mouvements de l’eau et de l’air dans le milieu
ambiant, ainsi que les mouvements des liquides dans le corps se font en
permanence en flux tourbillonnaire, c’est-à-dire sous la forme de vortex
répétés. Il n’est donc pas illogique de penser qu’il en soit de même pour
l’essentiel des ondes que nous recevons : Nikola Tesla a démontré au début du
XXè siècle l’existence d’un tel rayonnement, très abondant, capable de
traverser la terre elle-même et dont le rendement était sur-unitaire ; Le
Professeur K. Meyl a ainsi supposé plus tard que les 5 particules associées à
ces ondes ne pouvaient être que des neutrinos, ces très petites particules à
masse et charge variable, et donc très pénétrantes. Les neutrinos, qui circulent en vortex, nous arrivent
à la « dose » de 60 milliards de particules par seconde et par cm2 de surface !
Les physiciens estiment aujourd’hui que les neutrinos sous leurs 4 formes
principales (ou saveurs) formeraient quelques 85% de la masse de tout
l’univers, dont la fameuse matière noire ! Qu’ils forment une partie
importante de ces ondes scalaires n’est donc pas étonnant, avec des vitesses de
progression souvent supérieures à celle de la lumière. Mais ils existent des
ondes scalaires émises à des vitesses inférieures par tout ce qui vit sur
terre, mais aussi par les roches et l’eau en mouvement. Le rayonnement scalaire
forme un rayonnement que l’on appelle le « bruit de fond » aussi important que
vital pour tous les êtres vivants sur la terre ! Tout ce qui existe émet en
vortex, sans que les ondes produites trouvent forcément un récepteur ? Elles
finissent donc par s’amortir sous forme de chaleur, et composent ce bruit de
fond très complexe, une énergie disponible dans laquelle peuvent puiser tous
les êtres vivants. Entre 2 cellules ou entre 2 personnes, sont émises et reçues
des ondes de type scalaire : il ne peut en être autrement, car la forme des
antennes impose la forme des ondes en jeu ; et dans le cas d’une cellule par
ex, avec un ADN en forme de spirale double, ou encore des protéines en forme de
spirale 2, 3 voire 4 fois enroulées sur elles-mêmes pour une efficacité
optimale, la structure de l’antenne n’est pas adaptée à des ondes
électromagnétiques en sinusoïde, mais bien à des ondes spirales, c’est-à-dire
en vortex.
Comment capter soi-même les ondes scalaires ? Si nous
captons à chaque seconde des ondes scalaires émises par le soleil et le cosmos,
nous devrions toujours être en grande forme, alimentés par cette lumière
discrète et pénétrante à chaque instant de notre vie ? Or il nous arrive de
tomber malades ou d’être fatigués ! … ce qui signifie alors que les dépenses excèdent les
apports. Comme en comptabilité, la solution est donc de favoriser les entrées
et de limiter les sorties ! Comment favoriser les entrées ? En devenant un
meilleur récepteur, par la méditation qui modifie notre état de conscience nous
rendant plus perméable aux neutrinos et aux autres ondes scalaires ; par le
banal sommeil qui réalise la même chose. La méditation associée à la
visualisation est encore plus puissante pour nous faire entrer en résonance
avec une source précise (par ex le soleil) et ainsi augmenter la charge
potentielle de nos antennes ADN à partir de celle-ci. Elle nous prépare aussi à
un sommeil plus réparateur. La pratique
millénaire du Yoga et du Qi gong a le même but de
rentrer en résonance avec une source, cosmique et/ou spirituelle, puis de
diriger l’énergie ainsi captée sur une zone du corps, qui devient réceptrice privilégiée.
Avec un peu d’entrainement, répété tous les jours, on arrive à charger et
recharger son corps en lumière de manière fiable. Il n’est pas besoin de
connaitre beaucoup d’exercices, mais le secret est de pratiquer souvent !
Capter l’énergie libre, qui circule autour de nous sous
la forme d’ondes en vortex, avec comme support des milliards de particules -
dont les neutrinos -, est une opération banale que nous réalisons tous à chaque
seconde de notre vie. Bien heureusement ! Car il est démontré que ce bruit de
fond énergétique nous est vital. Nous ne pouvons éviter le fait que les
neutrinos nous traversent, et pas plus, nous ne pouvons empêcher que notre cœur
batte au rythme d’environ 1 Hertz (1 battement par seconde) : les neutrinos qui
passent et notre cœur qui bat produisent ensemble de la lumière, que nous
absorbons ensuite dans nos tissus, dans un accord de résonance précis,
fréquence par fréquence. Il en va ainsi depuis la nuit des temps et c’est grâce
à la physiologie de ces ondes scalaires que nous pouvons décrire ces processus,
les nommer et en prendre conscience … enfin !
Et l'aventure se poursuit à travers cette découverte étonnante:Ce thème de la lumière revient de différentes manières:
Chez Philippe Guillemant:
« La question reste ouverte concernant l'action de la conscience ou le pouvoir de l'intention. Je pressens néanmoins qu'il doit s'agir d'une action électromagnétique, car si l'on considère la capacité de la nature à faire émerger toute la complexité et l'organisation du vivant, en comparaison avec la pauvreté de notre technologie pour ce qui est de fabriquer des systèmes artificiels de type humanoïde par exemple, il est légitime de se demander si dame nature ne maîtrise pas beaucoup mieux que nous la communication électromagnétique et tout ce qui s'en suit. (…) il n'est pas inconcevable que cette information puisse jouer un rôle déterminant et structurant sur nos lignes temporelles.
L'amour dont il est question ici n'est pas l'amour au sens où on l'entend habituellement ni au sens "new-age". Il n'est pas un produit de l'activité cérébrale, contrairement au désir. Il est une essence fondamentale de l'espace intérieur, au même titre que la lumière dans l'espace extérieur. Il s'agit de l'essence du (moteur du) libre arbitre. Si le libre arbitre définit un archétype vers lequel on tend, il faut encore définir la puissance (ou l'intensité) avec laquelle on tend vers la réalisation de cet archétype. C'est ce que j'appelle l'amour, faute de trouver une meilleure appellation, car on tend vers ce que l'on aime, tout simplement. L'amour et le libre arbitre sont indissolublement liés, tout comme une forme (un contenant) est indissolublement liée à son contenu. Cela n'a rien à voir avec l'amour au sens du désir par exemple, car le désir a plutôt l'effet contraire. »
Ou encore dans le plus que nécessaire:Nous retrouvons cette expérience du divin chez Nicolas Fraisse:
De nombreux indices plaident en faveur d'une conscience quantique en intrication avec un au-delà au réel, avec une essence, une énergie fondamentale à l'origine de toute existence, une essence dont Max Planck disait: "Ayant consacré toute ma vie à la science la
plus rationnelle qui soit, l'étude de la matière, je peux vous dire au moins
ceci à la suite de mes recherches sur l’atome : la matière comme telle n'existe
pas ! Toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les
particules et maintient ce minuscule système solaire qu'est l'atome. Nous
pouvons supposer sous cette force l'existence d'un Esprit intelligent et
conscient. Cet Esprit est la matrice de toute matière."
Le champ qui interconnecte tout l’univers est bien réel, quel que soit le nom que nous lui donnons et quelles que soient les lois de la physique auxquelles il se conforme ou non. Il est ici en cet instant même ; il existe sous la forme de vous et de moi. Il est aussi notre univers intérieur et extérieur, le pont quantique entre tout ce qui est possible dans notre esprit et ce qui devient réel dans le monde.
Sous la loi de l’Amour, l’intuition de Saint Augustin prend son véritable sens : « Aime et fais ce que tu veux », disait-il avec raison. Nous ne sommes pas ici dans une tension du vouloir, du savoir, du devoir, du valoir ou du pouvoir. Nous sommes rappelés à un état, à une grâce d’où tout peut découler : l’Esprit est dans la vie et la vie dans l’Esprit, sans violence aucune ni dichotomie. Cette communion particulière nous est dite de diverses façons :
- Dieu, en son étymologie latine, est la lumière du jour (dies).
- Le mot lumière en hébreu (owr) signifie : briller, être éclairé, répandre la clarté, devenir brillant
- Lumière en grec (phos) apparaît plus de 50 fois dans le nouveau testament : le mot signifie littéralement émanation d'énergie lumineuse, comme rayonnent certains corps tel le soleil, le feu.
- Jésus dira : « C’est vous qui êtes la lumière pour le monde » (Mt 5,4). Il invitait ainsi ses auditeurs à faire la distinction entre ce qui est du monde et ce qui est de Dieu.
- En 1 Jean 1, 5 nous est dit: "La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c’est que Dieu est lumière, et qu’il n’y a point en lui de ténèbres."
Le libre-arbitre
repose sur cette distinction essentielle. L’apôtre Paul le dira aussi en ces
mots en 2 Corinthiens 4,5 En effet, ce n’est pas sur nous–mêmes que porte notre
proclamation : nous proclamons que Jésus–Christ est le Seigneur, et que
nous–mêmes sommes vos esclaves à cause de Jésus. 6 Car le Dieu qui a
dit : « Du sein des ténèbres brillera la lumière » a brillé dans notre coeur,
pour que resplendisse la connaissance de la gloire de Dieu sur le visage du
Christ. 7 Mais nous portons
ce trésor dans des vases de terre, pour que cette puissance supérieure soit
celle de Dieu et non la nôtre.
Ici, tout est lumière:
À nous d'y consentir et de l'expérimenter...